dimanche 28 décembre 2014

BALADE EN VÉLO EN DÉCEMBRE...


Par Bernard Bujold (LeStudio1) -
Le journaliste William Johnson (83 ans) ainsi que la température douce et sans neige touchant le Québec en cette période des fêtes 2014 ont provoqué mes habitudes et mon audace et j'ai ressorti mon vélo pour faire une tournée du Vieux-Montréal... 
Je me suis dit si Bill fait du vélo, pourquoi pas moi aussi. Vive l'hiver! Vive le vélo! 
Photo 1 et 2: Bernard Bujold ;
Photo 3: Vieux-Montréal Square Victoria;
Photo 4: William Johnson Gatineau;
VOIR ALBUM PHOTOS ;

jeudi 25 décembre 2014

JOYEUX NOËL 2014


Par Bernard Bujold (LeStudio1.com) - 
À chaque année, j’aime profiter de Noël pour réfléchir sur la vie. 
J’ai lu plusieurs textes durant ces derniers jours dans les médias racontant le malheur de certains, la pauvreté d’autres et la richesse de quelques uns. Il faut se rendre à l’évidence, la vie sur terre est une loterie et on ne peut pas être tous gagnant du gros lot (riche, beau et en santé) mais si nous sommes acceptés dans cette loterie de la vie, nous obtenons tous au moins un lot, celui minimum d’une vie… Il faut donc avoir la sagesse de savoir profiter et surtout accepter le lot qui nous est accordé. 
La plus importante richesse qui soit est évidemment la jeunesse,  le reste sera un voyage avec des anecdotes et les choix de notre jeunesse, libres ou imposés, décideront largement de la destination et des options possibles pour nos divers périples de vie adulte. Bien sûr, il va de soi que la santé est encore plus importante que la jeunesse car sans santé, il n'y a pas de vie. La santé est la première richesse que l'on obtient dès la naissance et celle-ci devra nous durer la vie entière. Il ne faut donc jamais la gaspiller...
Personnellement je me considère être comme une sorte de chat (ou un chien comme mon fidèle Ulysse) pour avoir eu jusqu’à date au moins sept vies… 
J’ai d’abord grandi dans un presbytère alors que ma famille souhaitait me voir devenir prêtre (ou évêque…); j’ai ensuite rêvé d’être un athlète de renom; pour devenir journaliste croyant avoir trouvé une vocation; pour ensuite vouloir créer un clan familial qui s’est terminé par des solitudes; pour faire de la politique pensant pouvoir changer le monde; et finalement pour redevenir journaliste mais en sachant que le monde, il ne peut se changer que dans chacune de nos vies et uniquement sur une base individuelle. Aujourd’hui, dans cette vie qui est présentement la mienne, et bien je fais mon possible… 
J’applique aussi la philosophie de l’ami Gérard Depardieu: vivre pleinement le moment présent, philosophie décrite dans son excellent ouvrage biographique actuellement en librairie et mon livre préféré en 2014: “Ça s’est fait comme ça.” 
Et parce que j’ai connu plusieurs vies depuis mon enfance, je sais qu’à chaque nouvelle vie, c’est toujours à la fois une fin, et un recommencement! Il faut donc savoir oublier le passé et accepter le changement. Le bonheur n’existe jamais comme destination mais il est dans le moment présent de chacune de nos vies, parmi et malgré les obstacles. Il ne faut pas avoir peur du présent et le vivre comme s’il s’agissait de notre dernier moment sur terre! 
Joyeux Noël à tous et toutes et une belle année 2015! 
P.S. Le Père Noël existe vraiment et il est venu me saluer! Le secret: Il suffit d’y croire…
Photo 1: Bernard Bujold ;
Photo 2: Ulysse le Chien LeStudio1 ;
Photo 3: Vue aérienne du village gaspésien de St-Siméon de Bonaventure;
Photo 4: Julie et Gérard Depardieu avec la couverture de la biographie;
Photo 5: Le Père Noël avec le Lutin;
Voir site LeStudio1.com ;

samedi 13 décembre 2014

CONRAD BLACK ET L'HISTOIRE DU CANADA


Par Bernard Bujold (LeStudio1.com)-
Je viens de terminer la lecture de l'histoire du Canada écrit par Conrad Black: RISE TO GREATNESS - THE HISTORY OF CANADA. L'ouvrage de 1,106 pages est un véritable survol de plus de 400 ans d'histoire et on peut en conclure que Black a bien réussi son exploit! 
Quiconque veut connaître le Canada profitera de la lecture de ce livre. 
L'histoire commence avec Samuel de Champlain et se termine avec Stephen Harper et Philippe Couillard. Tout y passe: des guerres avec les Iroquois; les luttes entre la France, l'Angleterre et les États-Unis pour contrôler le Canada en naissance; la fondation du Canada à l'époque de John A. Macdonald; les relations du Canada, dirigé par MacKenzie King, avec Hitler avant et durant la deuxième Guerre; l'évolution du Québec de Maurice Duplessis en passant par Jean Lesage, René Lévesque et Robert Bourassa; et une analyse du rôle de tous les Premier ministres modernes de Pierre E. Trudeau à Jean Chrétien, Brian Mulroney et bien sûr Stephen Harper. 
Conrad Black a probablement terminé l'ouvrage avant l'arrivée en politique de Pierre-Karl Péladeau car il ne le mentionne pas et il termine son livre en disant que Philippe Couillard, qu'il qualifie "d'estimable" et de fédéraliste sans équivoque, devra être plus "combatif" auprès d'Ottawa pour obtenir la juste place qui revient au Québec dans le Canada. Black suggère aussi comme conclusion qu'il faudra que les leaders à Ottawa et à Québec soient plus imaginatifs pour rassembler le pays et respecter ses cultures fondatrices. 
Conrad Black croit en l'avenir du Canada et il est évidemment un fédéraliste profondément convaincu. 
L'ouvrage est publié en anglais seulement mais une traduction est en discussion. Le livre gagnerait à être traduit car il concerne directement, en plus du Canada anglais, tous les francophones du Québec et de la France et il ne fait aucun doute que le regard sur l'histoire du Canada contribuera directement au discours politique des prochaines années, surtout avec le nouvel élan qu'envisage de prendre le Parti québécois! 
Personnellement, j'ai adoré l'ouvrage de Conrad Black et je le recommande à tous et toutes, incluant Pierre-Karl Péladeau...
PHOTOS 1 et 2: Conrad Black ;
PHOTOS 3 ET 4: Couverture du livre;
VOIR REPORTAGE ET ENTREVUE VIDÉO THE GAZETTE ;

LES PLAISIRS DU CHALET...


Par Bernard Bujold (LeStudio1.com) - 
Les plaisirs du chalet en hiver sont différents de ceux en été mais ils sont tout autant agréables. La nature offre un spectacle qui se rapproche de la photographie en noir et blanc contrairement aux couleurs brillantes de l'été. Bien sûr, si on est au chalet durant décembre et avant le 24 décembre... il faut accepter de partager avec notre ami toujours en couleurs: Le Lutin! 
Photo 1: Bernard Bujold (LeStudio1.com) ;
Photos 2,3 et 4: Chalet;
Photo 5: Le lutin au chalet;
VOIR ALBUM PHOTOS ;

mardi 2 décembre 2014

PIERRE KARL PÉLADEAU ET LA POLITIQUE QUÉBÉCOISE...


Par Bernard Bujold (LeStudio1) - 
Le climat politique au Québec risque de revenir à l'ambiance de 1995 à l'époque où le référendum occupait tout l'espace médiatique et populaire. On se souviendra que les chicanes de clans étaient profondes et rudes. On était pour ou contre, mais jamais neutre! 
Aujourd'hui en 2014, on peut déjà sentir, et de plus en plus autour du cheminement de Pierre-Karl Péladeau, qu'un clivage est en train de s'établir à nouveau entre les pro-indépendantistes et les pro-fédéralistes du Québec. 
J'ai d'ailleurs déjà commencé à recevoir plusieurs communications en privées, ou sur mes divers sites sociaux, me rappelant que je devrais, ou que je ne devrais pas, appuyer le fils de Pierre Péladeau dans son nouveau projet politique pour l'indépendance. Autant certains de mes correspondants sont fortement en faveur de PKP, d'autres sont profondément contre lui. Plusieurs sont aussi plutôt genre curieux quant aux secrets que je pourrais posséder concernant le fils du fondateur de Quebecor... 
D'abord je ne suis pas un ennemi de PKP, ni non plus son ami. Je regarde donc son cheminement à partir des estrades. Je l'ai toujours répété, Pierre Karl Péladeau est un individu plus intelligent que la moyenne et il a réussi à s'imposer à la direction de Quebecor même si ceux qui avaient pris la place de Pierre Péladeau après sa mort ne voulaient pas lui céder le pouvoir. Je pense ici à l'ancienne garde comme Jean Neveu et Charles Albert Poissant. C'est d'ailleurs dans cette guerre que je me suis retrouvé alors qu'immédiatement quelques jours seulement après la mort de Pierre Péladeau, Jean Neveu m'avait convoqué dans son bureau pour me confirmer qu'il ne voulait absolument plus de moi chez le "nouveau" Quebecor! 
Pas même pour m'occuper du stationnement... 
Voilà un petit secret, parmi d'autres, pour les curieux! 
Concernant Pierre-Karl Péladeau, si j'avais été PKP, il est certain que je serais resté à la direction de Quebecor car il avait entre les mains un empire privé. Il a choisi la politique et il y a tout un monde entre les affaires et la politique. 
D'ailleurs, son père refusait de solliciter des contrats d'imprimerie auprès du gouvernement et il m'a souvent dit que la démocratie n'avait rien de commun avec les affaires. J'ai pu le constater par moi-même lorsque je suis entré à son service. J'arrivais d'Ottawa notamment avec Brian Mulroney où, en politique, on se lève le matin et notre agenda est influencé par les médias et les nouvelles du jours. En affaires, l'agenda est contrôlé par celui qui possède les poignées de porte... 
Si en politique, les journalistes veulent toujours démontrer que ce que dit le politicien est faux; en affaires, les journalistes publient généralement sans questionner les communiqués de presse officiels de l'entreprise. Mais le fils du fondateur de Quebecor a décidé de monter dans l'arène politique et il se battra. Ce sera une compétition très excitante à regarder car il est monté en tant que champion aspirant. Une compétition sportive de haut niveau est toujours un événement agréable à suivre. 
Quant à mes secrets, c'est l'Omertà, du moins pour le moment... À suivre!
Photo 1 et 2: Pierre Karl Péladeau ;
Photo 3: Pierre Karl Péladeau, Julie Snyder et Jean Neveu ;
Photo 4: Pierre Péladeau et Bernard Bujold ;
Photo 5: Siège social de Quebecor;

lundi 1 décembre 2014

PIERRE KARL PÉLADEAU ET LA COURSE DU PARTI QUÉBÉCOIS...


Par Bernard Bujold (LeStudio1) -
La course pour la direction du Parti Québécois est lancée! 
Il est évident que PKP ferait un excellent Premier ministre mais, comme je l'ai dit à Radio-Canada, il n'a peut être pas choisi le bon parti pour mettre en application son talent et ses idées économiques. Le Parti québécois est un parti d'idées, disons "romantiques" plus qu'un parti d'actions "pragmatiques"..." 
PKP est un avocat et il a fait son Barreau au Québec. Il est un homme d'affaires par héritage et ainsi il n'est pas comme son père un entrepreneur mais plutôt un gestionnaire d'empire et un gestionnaire très pragmatique pour qui la ligne de profit compte pour l'essentiel.
Comme je ne suis pas un militant politique, ni péquiste ni d'aucun parti, je ne serai qu'un spectateur dans les gradins à l'égard de la course de PKP. 
Personnellement, je suis apolitique en ce sens que je n'appuie aucun parti en particulier, ni PQ, ni Libéral ou ni CAQ mais j'appuis des individus. J'aime bien un Justin Trudeau, une Ruth Ellen Brosseau, un Nicolas Sarkozy, ou autrefois un Brian Mulroney, un René Lévesque, etc... Je n'ai jamais été un ami de Pierre Karl mais je l'ai bien connu dans le passé lorsque j'étais l'adjoint de son père qui était, lui aussi, apolitique de parti politique et il appuyait des hommes selon leur valeur individuelle. Il n'aimait pas Pierre Elliott Trudeau mais il était un ami intime de Brian Mulroney tout comme de Robert Bourassa et bien sûr de René Lévesque mais toujours au niveau de l'individu et jamais au niveau du parti. Il a appuyé aussi Pierre Bourque à la mairie de Montréal. 
Dans le cas de Pierre Karl Péladeau, son histoire ne fait que commencer et elle est à suivre. PKP a pris en main Quebecor en 1997 qui était alors le leader mondial en imprimerie. En route, il a ajouté l'autre empire Vidéotron à son porte-feuille. Comme c'était trop lourd financièrement, il a commencé à larguer les imprimeries pour ne conserver à la fin que Vidéotron. 
En 2014 on sait que les Imprimeries Quebecor ont fait faillite et que Vidéotron est devenu un fleuron à cause de l'internet. PKP avait gagé la maison et, chanceux, il a gagné mais il aurait pu tout perdre. Je crois qu'il fait la même chose sur le plan politique. Il gage la maison! Souhaitons pour lui qu'il gagne à nouveau son pari mais au casino si tu gagnes le gros lot une fois, la seule façon de sortir gagnant est de cesser de jouer et de quitter le casino avec le gros lot. QUEBECOR a été son gros lot dans le passé. Pourra-t-il gagner un autre gros lot dans l'histoire de sa vie?
À suivre!
Photo 1: Bulletin de nouvelle de Radio-Canada avec Pascale Nadeau;
Photo 2: Pierre Karl Péladeau lors du lancement de sa campagne ;
Photo 3: Bernard Bujold dans le studio de Radio-Canada;
VOIR REPORTAGE LE DEVOIR ;

dimanche 30 novembre 2014

MICHAËLLE JEAN ET SON DESTIN...


Par Bernard Bujold (LeStudio1.com) - 
Le destin de Michaëlle Jean semble définitivement être favorisé des dieux... 
L'ex- Gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean, a été choisie parmi les cinq candidats en lice pour diriger la francophonie mondiale. L'ex- Premier ministre du Canada Paul Martin sera très certainement heureux de cette décision envers sa favorite... 
Si l'ex-Premier ministre Paul Martin n'avait pas regardé la télévision un soir de 2005 dans son bureau à Ottawa en mangeant son repas assis sur son sofa et qu'il n'avait pas eu la réception du téléviseur sur RDI, il n'aurait pas remarqué l'animatrice Michaëlle Jean et le destin de l'ex-journaliste aurait été bien différent. Une chance aussi que la secrétaire du Premier ministre aimait bien le style de Michaëlle car la légende urbaine veut que Martin lui aurait demandé ce qu'elle pensait de son idée de nommer Michaëlle Jean au poste vacant de Gouverneure générale. La secrétaire aurait répondu que oui c'était une idée intéressante... Paul Martin aurait alors dit:" Ok! Appelles la immédiatement que je lui parle..." 
Rappelons que Jean Béliveau avait refusé l'invitation précédente de Paul Martin et que le Premier ministre canadien se devait de trouver quelqu'un ou quelqu'une rapidement... 
Le cheminement de Michaëlle Jean m'a toujours fait penser à celui d'un autre ex-journaliste de Radio-Canada, Bernard Drainville. Malheureusement pour lui, les dieux lui semblent moins favorable et s'il pouvait avoir des ambitions légitimes de devenir un jour Premier ministre du Québec, l'entrée en scène de Pierre-Karl Péladeau est venu diriger le destin de Drainville vers une autre direction que la gloire que connaît son homonyme professionnel qu'est Michaëlle Jean. 
Qui a dit que le destin n'avait pas d'importance... 
Photos 1 et 4: Michaëlle Jean;
Photos 1 et 2: Paul Martin ;
Photo 3: Bernard Drainville ;
VOIR NOMINATION MICHAËLLE JEAN ;
VOIR BIOGRAPHIE MICHAËLLE JEAN ;

vendredi 21 novembre 2014

SALON DU LIVRE DE MONTRÉAL 2014


Par Bernard Bujold (LeStudio1.com) - 
C'est la fin de semaine du SALON DU LIVRE DE MONTRÉAL 2014 (francophone) et des milliers d'amateurs de lecture viendront rencontrer leurs auteurs préférés. 
On y retrouve des vedettes internationales comme Kathy Reichs et Ken Follett tout comme des vedettes québécoises comme Denis Monette, Roxanne Bouchard, Jacques Languirand, ou des journalistes de renom comme Jean-Francois Lepine, Fabrice De Pierrebourg et Chantal Hébert ou des politiciens comme Justin Trudeau et Mélanie Joly. Il y a aussi plusieurs artistes notamment Edith Butler. 
Sur les milliers d'auteurs au Salon du livre de Montréal 2014, quelques dizaines ont des lignes d'attentes de centaines de lecteurs qui veulent une signature. Mais pour les autres, c'est la leçon d'humilité que décrit la journaliste Marie Claude Ducas dans un texte publié dans Le Journal de Montréal (samedi 22 novembre "Auteur au Salon du livre… ça ressemble à quoi ?" ). Mais tous les auteurs ont un point en commun: la passion de leur travail et de l'écriture. 
Parmi les auteurs moins vedettes, j'ai choisi de photographier Catherine Bourgault, une jeune auteure mère de famille de trois enfants qui publie une série genre "Cheek Lit". Elle présente deux livres au Salon 2014: Le Club des Girls et Sortie de filles. 
Tous les grands médias sont également présents dont plusieurs présentent des tables de discussion.
En tout, plus de 100,000 visiteurs sont attendus et plus de 1,000 éditeurs francophones et 1,500 auteurs sont présents sur place. Il s'agit de la 37e édition de cet événement annuel montréalais qui se déroule du 19 au 24 novembre à la Place Bonaventure. Une occasion privilégiée et unique pour choisir des cadeaux de Noël, événement qui sera là dans moins d'un mois... Malheureusement mon ami Gérard Depardieu n'a pas fait le voyage à Montréal pour le Salon mais je continue d'adorer son livre et je le considère être le livre par excellence de l'année 2014! C'est le livre que j'offrirai pour Noël et il est disponible au Salon (kiosque des Éditions XO - section ADP) Bon Salon du livre et bonne lecture!
Photo 1: Affiche du Salon du livre 2014;
Photo 2: Bernard Bujold au Salon du livre;
Photo 3, 4, 5, 6 et 7: Salon du livre 2014;
VOIR ALBUM PHOTOS ;

mercredi 19 novembre 2014

NOEUDVEMBRE et mon ami Gaspard...


par Bernard Bujold (LeStudio1) -
Dans une ancienne vie, j'étais de tous les galas, événements mondains, soirées de levée de fonds, événements de première au théâtre, au musée, lancement de livres ou de disques, expositions, concerts de musique, spectacles variés, etc! Mon agenda était autrefois rempli 7 sur 7. Je voulais plaire et séduire et je ne croyais pas aux vertus de la solitude ni aux gestes individuels et discrets. 
C'était autrefois car dans ma vie actuelle je refuse automatiquement trois catégories d'invitations: 
1. Je ne participe jamais à des cérémonies de noce (grand rassemblement de famille, amis et connaissances. Je préfère les rencontres intimes et, pour moi, un souper réunissant plus de 4 personnes est une foule... ;
2. Je n'assiste à aucune cérémonie funéraire! La personne est morte et elle ne m'entendra pas lui dire que je l'aimais. Je préfère les vivants... ;
3. Je ne participe à aucune campagne de levée de fonds publique, genre Centraide. Je préfère aider mon entourage sur une base individuelle. 
Bien sûr il y a des exceptions. Ainsi un ami (Facebook), Gaspard Fauteux, m'a invité à publier une photo de moi, une sorte de selfie, avec un noeud papillon pour la campagne de sensibilisation NOEUDVEMBRE (association Procure contre le cancer de la prostate chez les hommes). Comme j'adore faire de la photo, j'ai accepté. S'il m'avait invité à un Gala j'aurais refusé... 
Voici donc ma photo! Bonne campagne NOEUDVEMBRE, cher Gaspard... 
Photo 1: Bernard Bujold;
Photo 2: Gaspard Fauteux;
VOIR SITE PROCURE ;

lundi 17 novembre 2014

SAUVONS RADIO-CANADA


Par Bernard Bujold (LeStudio1) -
La manifestation de support présentée à Montréal ce dimanche 16 novembre 2014 à l'égard de la sauvegarde de Radio-Canada a rassemblé près de 25,000 personnes, selon les organisateurs et les responsables policiers. 
Une marche très structurée qui n'aura duré que deux heures mais qui a réuni de nombreuses personnalités à la fois du public comme parmi les employés de Radio-Canada. On remarquait plusieurs journalistes et animateurs dont les Joël Le Bigot, Jean-François Lépine, Anne-Marie Dussault, Marc Laurendeau, Simon Durivage, Claude Deschênes, Gabriel Nadeau Dubois et plusieurs autres. Parmi les artistes on remarquait Marc Hervieux, Dan Bigras et Vincent Bilodeau ainsi que quelques politiciens comme l'ex-chef du parti québécois André Boisclair.Des autobus avaient été nolisés notamment en provenance de Gatineau et on remarquait la présence de Louise Poirier, co-présidente du mouvement "Radio-Canada, j'y tiens / CBC, I Care". 
Il est évident que ce n'est pas cette manifestation qui changera les orientations de gestion de Radio-Canada et seul l'adoption de Radio-Canada en tant qu'enjeu électoral par un chef de parti politique s'opposant à Stephen Harper pourrait replacer la société d'état vers son rôle de leader en communication au pays. 
Mais qui sait, peut-être que la manifestation aura contribué à convaincre Justin ou Thomas. La prochaine élection fédéral est prévu pour octobre 2015! 
À suivre... 
Photo 1: Bernard Bujold avec les manifestants ;
Photo 2 et 5: Manifestation du 16 novembre 2014;
Photo 3: Joël LeBigot;
Photo 4: Marc Hervieux;
VOIR ALBUM PHOTOS ;

vendredi 14 novembre 2014

GÉRARD DEPARDIEU - ÇA S'EST FAIT COMME ÇA! - LE LIVRE DE L'ANNÉE 2014


Par Bernard Bujold (LeStudio1) -
L'autobiographie de Gérard Depardieu est disponible au Québec en librairie et c'est un livre magnifique pour trois raisons! 
1. Gérard se confie le plus simplement du monde mais très ouvertement. Il nous raconte les raisons de son amitié avec Vladimir Putin, sa vision de la vie d'acteur et d'homme d'affaire, sa passion pour le terroir, son amour pour ses enfants et surtout, son amour de liberté. 
2. Gérard et moi on se ressemble beaucoup au niveau de la philosophie de vie et nous sommes de la même génération. Si j'avais écrit un livre sur ma vie,  j'aurais aimé transmettre le même message que transmet Gérard pour ses enfants et ses amis:. En une phrase: "Il faut vivre et être heureux !" 
3. Ce livre arrive en librairie juste avant les fêtes de Noël et du Nouvel An. C'est donc un excellent choix de cadeau à offrir à ses amis. Pour moi, ce sera le cadeau que j'offrirai car je considère ce livre être un ouvrage d'exception et le "Livre de l'année 2014". 
Bonne lecture et merci à Gérard de nous l'offrir.
PHOTO 1: COUVERTURE DU LIVRE ;
PHOTO 2 ET 3: GÉRARD DEPARDIEU ;
VOIR REPORTAGE LIVRE PARIS MATCH ;

mardi 11 novembre 2014

PIERRE KARL PÉLADEAU EN GUERRE...


Par Bernard Bujold (LeStudio1)-
La guerre est lancée dans la course à la direction du Parti québécois et Pierre-Karl Péladeau fera feu de toute munition. Comme disent les Anglais, ce sera un match "No-Hold-Barred"! 
On pourrait aussi dire que ce sera tel fils, tel père... 
En effet PKP s'attaque de plein front aux anciens ennemis de son père. Un premier exemple est le texte qu'il adresse directement sur son Facebook à l'ancien magnat de la presse Conrad Black en le qualifiant de "tôlard" suite à un éditorial de Black dans The National Post au sujet de la Constitution canadienne et de Philippe Couilllard. 
Lorsque j'étais l'adjoint de son père, Pierre Péladeau, souvent ce dernier partageait avec moi sa haine et son mépris pour Conrad Black qu'il détestait au même titre qu'il détestait Pierre E. Trudeau ou Paul Desmarais Sr. Moi, je tentais de dévier la conversation surtout que j'aimais bien et admirais les trois hommes. J'avais d'ailleurs bien failli travailler pour Conrad Black que je connaissais de par Peter G. White, l'associé du magnat et ancien chef de cabinet de Brian Mulroney.
PKP ressort aussi les anciennes amitiés de son père avec Bernard Landry que le père Péladeau aimait bien... 
La guerre fera des victimes et la victoire est loin d'être assurée pour PKP s'il attaque trop large. L'une des questions qui se pose est: " Que fera Brian Mulroney actuellement président du conseil de Quebecor. Brian est un ami de PKP mais aussi un ami proche de ses ennemis allant des Desmarais, Trudeau (fils) et Conrad Black! Comme je l'ai déjà dit plusieurs fois dans le passé: "Le pire ennemi dans une guerre est soi-même. Ainsi le pire ennemi de PKP est PKP lui-même!" 
À suivre!
Photos 1 et 3: Pierre-Karl Péladeau;
Photo 2: Conrad Black;
Photo 4: Brian Mulroney;
VOIR FACEBOOK PIERRE KARL PÉLADEAU;