jeudi 16 mai 2019

CONRAD BLACK ET SON PARDON



CONRAD BLACK ET SON PARDON-
Par Bernard Bujold -
Je connais Conrad Black depuis les années 1980 et je l'ai toujours considéré comme un grand magnat de la presse. À mon avis, c'était un homme des médias aussi brillant que ceux de la catégorie des Rupert Murdoch, Ted Turner, Thomson ou Lord Beaverbrook. 
Conrad Black était le seul sujet sur lequel Pierre Péladeau et moi, un autre propriétaire de média dont j'étais l'adjoint exécutif, n'étions pas d'accord, car il n'aimait pas cet homme alors que je l'admirais profondément. 
Je suis très heureux qu'une autre personnalité publique, Donald Trump, que j'admire aussi beaucoup, accorde maintenant la grâce présidentielle à Conrad Black. 
La seule raison pour laquelle M. Black a été condamné à une peine d'emprisonnement, me semble-t-il, est qu'il a refusé de rembourser l'argent reçu à titre de dividendes et a décidé de contester la demande de remboursement devant les tribunaux. Il était convaincu de son droit, mais il a perdu sa bataille et a été condamné à une peine de prison. 
Maintenant, la réputation de Conrad Black est réparée et il sera de nouveau reconnu comme le grand homme d'affaires et érudit qu'il est. 
Félicitations à vous, M. Black, et merci à vous, M. le Président Donald Trump. 
VOIR LE COMMENTAIRE DE CONRAD BLACK

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