jeudi 17 novembre 2011

Michael Sabia et la Caisse de dépôt du Québec - Une affaire sentimentale...



Le dossier du français à la Caisse de Dépôt continue de retenir l'attention dans les médias québécois. C'est un incontournable que la Caisse doit être dirigée en français. La solution pour élargir ses marchés dans le monde: utiliser des experts capable de parler d'autres langues. C'est comme dans les pays arabes ou chinois: on parle arabe ou chinois et on traduit.
Bernard Bujold (LeStudio1.com) a bien connu le style de gestion de Michael Sabia. "Un jour j'avais été choisi pour occuper un poste de direction chez Bell Canada. Mais lorsque Sabia a appris que j'avais été l'adjoint au président chez Quebecor, il a refusé que je sois embauché car Quebecor était son pire ennemi au niveau de la téléphonie... On dit qu'il rêvait à Pierre-Karl Péladeau la nuit (cauchemars)..."
Le fait est que Sabia calcule ses gestes en fonction de ses sentiments. L'affaire du français n'est pas un accident de parcours. Ce qui l'est, c'est que l'affaire soit devenue un sujet d'intérêt dans les médias. Sabia ne s'attendait pas à ça...
Au pire, la Caisse pourrait utiliser Google traduction... (blague)

Photo 1: Logo Caisse de Dépôt du Québec ;
Photo 2: Michael Sabia ;
Voir reportage La Presse ;

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