jeudi 4 octobre 2018
LE BONHEUR D'UN COWBOY EN 2018
LE BONHEUR DU COWBOY EN 2018
Par Bernard Bujold -
Plusieurs amis me demandent si je suis un homme défait suite à l'élection de François Legault alors que j'avais plutôt projeté une victoire de Philippe Couillard?
Personnellement, je l’avoue, je n'ai jamais considéré que Legault devait être élu Premier ministre. Cela peut probablement expliquer l’échec dans ma projection qui n'était pas objective. Pourtant je n'étais pas plus un fan de Philippe Couillard et je n'ai pas voté pour lui pas plus que pour Manon Massé. Selon moi, le candidat qui était le plus développé sur le plan de ses idées politiques était Jean-François Lisée. Et comme l'économie est bien portante, je ne voyais pas de raison de changer de gouvernement.
Il semble bien que les électeurs ne votent pas sur les idées ni sur le côté intellectuel du programme...
Mais il faut cependant accepter le choix de la majorité. Je ne suis pas obligé de le partager, ni de l’aimer, mais il faut l’accepter.
En 2016, j'avais projeté avec succès l'élection de Donald Trump!
Mais ce n'étaient pas les politiques de Trump qui m'avaient convaincu de sa victoire car je ne suis pas Américain, mais le personnage qu'il représentait, dans sa dégaine et son style, un gagnant contre les bien-pensants. J'ai toujours eu beaucoup d'admiration pour Donald Trump, et ce depuis les années 1980, et j'étais convaincu que sa personnalité de bagarreur et de gagnant allait lui procurer la victoire en 2016.
J'avais eu raison dans ma projection mais c'était plus une confiance et un jugement envers Donald qu'une analyse en profondeur de l'élection.
Lors de l'élection du Québec, je n'avais aucune admiration pour aucun des candidats et j'ai projeté sur les programmes. C'était mon erreur. Suivez toujours vos sentiments au lieu de votre tête.
Je ne suis nullement défait par la victoire de François Legault et je suis toujours un homme heureux! Pour ceux qui s'inquiéteraient de ma "petite" peine à l’âme à l’égard de la victoire de Legault, je vous rappellerai que j’ai "l’incommensurable" joie et bonheur de me coucher chaque soir, et de me lever chaque matin depuis 2016, en pensant que le President Donald existe dans mon «époque» de vie...
Le bonheur d’un être, tout comme son malheur, est toujours une question de pensées bien personnelles. Dans la réalité, plusieurs de nos bonheurs et de nos malheurs ne sont que des anecdotes passagères dans l'histoire de l'humanité et sans réelle importance pour faire tourner la terre. Il faut cependant être heureux car la vie est trop courte pour être malheureuse. Alors s’il faut s’accrocher à des anecdotes pour être heureux, aimons les anecdotes!
Et comme chantait Lucky Luke: "Le rêve d'un cow-boy ne doit jamais se terminer ..."
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