DONALD TRUMP 300 -
Par Bernard Bujold -
Par Bernard Bujold -
Depuis plus d'un mois, la fin du mois d'août, je partage avec mon entourage immédiat ma prédiction selon laquelle Donald Trump remportera l'élection du 5 novembre 2024 à la présidence des États-Unis avec entre 300 et 312 voix de grands électeurs.
Je fais cette prédiction sur la base de plusieurs constats !
Tout d'abord, les sondages des médias placent Donald Trump et Kamala Harris à égalité, mais c'est trompeur car ces sondages ne sont pas fiables, n'inluant pas un nombre suffisant d'électeurs. À mon avis, les vrais sondages sont les sondages internes des deux partis, les Républicains et les Démocrates. Ces sondages internes ne sont pas publics, mais si l'on observe le comportement public de Donald Trump et de Kamala Harris, on constate que Trump et son équipe sont calmes et semblent confiants dans la victoire.
En revanche, Kamala Harris et son équipe semblent nerveux et inquiets de ne pas être plus en avance et ne pas pouvoir dominer la campagne électorale de manière significative, malgré tous leurs efforts. Leur panique se manifeste par le fait que leurs stratégies médiatiques et leurs programmes politiques changent constamment et selon une philosophie contraire à celle de leur parti. La dernière preuve de leur panique est d'avoir accepté une interview avec Fox News, un média de droite, ce que les démocrates n'ont jamais fait par le passé.
D'autre part, Joe Biden en 2020 avait des sondages beaucoup plus élevés que Kamala Harris, mais il n'a gagné que de justesse. Hillary Clinton, en 2016, avait également des sondages plus élevés que Harris, mais moins que Biden, et elle a perdu l'élection. Clinton avait remporté le vote populaire mais avait perdu à cause du système de vote des grands électeurs (232 Clinton - 306 Trump).
En politique, il y a toujours un élan, que ce soit à la hausse ou à la baisse, mais le titulaire sortant au pouvoir, ici Kamala Harris et les démocrates, ne doit jamais plafonner et être stationnaire. Harris a pris de l'élan dans les semaines qui ont suivi la démission de Joe Biden, mais elle plafonne depuis plusieurs semaines, à égalité avec Trump, qui parvient chaque jour à augmenter légèrement son avance dans plusieurs États clés. Cette situation démontre clairement que Harris ne parvient pas à prendre de l'avance sur son adversaire et que le jour de l'élection, Donald Trump l'emportera de justesse auprès des indécis, car il a une légère dynamique ascendante continuelle par rapport à Harris, qui est stationnaire.
En conclusion, à mon avis, la situation ressemble totalement à celle de l'élection de 2016, d'où ma prédiction d'une victoire de Trump avec entre 300 et 312 grands électeurs.
À suivre...
VOIR ENTREVUE FOX NEWS
https://www.nytimes.com/2024/10/16/business/media/kamala-harris-bret-baier-fox.html?unlocked_article_code=1.S04.KLtF.PkUf5KB-2zzp&smid=url-share
Tout d'abord, les sondages des médias placent Donald Trump et Kamala Harris à égalité, mais c'est trompeur car ces sondages ne sont pas fiables, n'inluant pas un nombre suffisant d'électeurs. À mon avis, les vrais sondages sont les sondages internes des deux partis, les Républicains et les Démocrates. Ces sondages internes ne sont pas publics, mais si l'on observe le comportement public de Donald Trump et de Kamala Harris, on constate que Trump et son équipe sont calmes et semblent confiants dans la victoire.
En revanche, Kamala Harris et son équipe semblent nerveux et inquiets de ne pas être plus en avance et ne pas pouvoir dominer la campagne électorale de manière significative, malgré tous leurs efforts. Leur panique se manifeste par le fait que leurs stratégies médiatiques et leurs programmes politiques changent constamment et selon une philosophie contraire à celle de leur parti. La dernière preuve de leur panique est d'avoir accepté une interview avec Fox News, un média de droite, ce que les démocrates n'ont jamais fait par le passé.
D'autre part, Joe Biden en 2020 avait des sondages beaucoup plus élevés que Kamala Harris, mais il n'a gagné que de justesse. Hillary Clinton, en 2016, avait également des sondages plus élevés que Harris, mais moins que Biden, et elle a perdu l'élection. Clinton avait remporté le vote populaire mais avait perdu à cause du système de vote des grands électeurs (232 Clinton - 306 Trump).
En politique, il y a toujours un élan, que ce soit à la hausse ou à la baisse, mais le titulaire sortant au pouvoir, ici Kamala Harris et les démocrates, ne doit jamais plafonner et être stationnaire. Harris a pris de l'élan dans les semaines qui ont suivi la démission de Joe Biden, mais elle plafonne depuis plusieurs semaines, à égalité avec Trump, qui parvient chaque jour à augmenter légèrement son avance dans plusieurs États clés. Cette situation démontre clairement que Harris ne parvient pas à prendre de l'avance sur son adversaire et que le jour de l'élection, Donald Trump l'emportera de justesse auprès des indécis, car il a une légère dynamique ascendante continuelle par rapport à Harris, qui est stationnaire.
En conclusion, à mon avis, la situation ressemble totalement à celle de l'élection de 2016, d'où ma prédiction d'une victoire de Trump avec entre 300 et 312 grands électeurs.
À suivre...
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https://www.nytimes.com/2024/10/16/business/media/kamala-harris-bret-baier-fox.html?unlocked_article_code=1.S04.KLtF.PkUf5KB-2zzp&smid=url-share
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