samedi 31 août 2019

LOUISE PENNY ET SON NOUVEAU LIVRE - 2019


LOUISE PENNY ET SON NOUVEAU LIVRE - 2019
Par Bernard Bujold -
Louise Penny vient de publier son 15e romans, A BETTER MAN, mettant en vedette l’inspecteur de police Armand Gamache, une sorte de Leroy Jethro Gibbs dans la série américaine NCIS. 
J’ai connu Louise à l’époque de son premier roman STILL LIFE en 2005. On pourrait dire qu’elle était alors une auteure à ses débuts et une auteure qui commence est toujours un peu seule devant un public qui la découvre. Je pouvais ainsi jaser avec Louise qui avait le temps de jaser... 
Ce n’est évidemment plus le cas en 2019 et l’auteure est devenu une star internationale acclamée et en demande, comparable à une Kathy Reichs. 
Le style d’écriture de Penny est vraiment unique et elle maitrise parfaitement l’art de raconter. Ses récits se déroulent généralement dans un même village fictif que l’on imagine dans les Cantons de l’Est mais il pourrait se situer n’importe où dans le monde selon le choix et la culture du lecteur. C’est ce qui fait le talent de Louise Penny. Elle est capable d’emmener le lecteur dans un voyage de fiction où chacun retrouve sa réalité. 
Le nouvel ouvrage sera un best seller et les libraires jouent le jeu. Uniquement dans la région Montréalaise, Indigo Chapter en a placé près de 500 copies dans ses magasins... 
En ce qui me concerne j’ai perdu le contact avec Louise Penny après son premier roman mais j’ai continuer de la lire avec beaucoup de plaisir à chacun de ses ouvrages. Elle serait peut-être un peu choquée si elle savait que je lis son nouveau livre de 2019 en buvant du café dans un tasse de mon idole Donald Trump 2020... (Louise est une grande amie d’Hillary Clinton) 
Mais si l’auteure est maître de son récit, le lecteur a tous les droits quant à la manière de sa lecture... 
De toute façon la Louise que j'avais connu en 2005 avait un excellent sens de l'humour! 
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vendredi 30 août 2019

L'AUTOMNE 2019 SERA ROBUSTE...


AUTOMNE 2019 
Par Bernard Bujold -
L’automne 2019 ne sera pas reposante... 
Une circulation urbaine montréalaise que l’on prévoit un enfer sur terre; une élection fédérale canadienne qui pourrait être violente sur le plan des débats politiques; et une guerre sans merci entre Quebecor et les médias québécois identifiés comme de gauche sur le plan des idéologies. Heureusement avec l’année 2020 à nos portes, le calme reviendra, probablement... 
www.lestudio1.com

mercredi 28 août 2019

L'EXPOSITION WORLD PRESS PHOTO MONTRÉAL 2019




WORLD PRESS PHOTO MONTRÉAL 2019 -
Par Bernard Bujold -
L'Exposition World Press Photo Montréal se tient du 28 août jusqu'au 29 septembre 2019 au Marché Bonsecours du Vieux-Montréal. 
En tout, les 150 images lauréates internationales sont affichées dans la salle du Marché avec en plus une série d'autres d'expositions de photos ou activités complémentaires à caractère local qui sont présentées au deuxième étage de la salle principale. 
Les photos de l'édition internationale 2019 sont beaucoup moins violentes que celles des récentes années mais le thème principale demeure l'actualité politique dans le monde. L'immigration, la situation de l'environnement, la place des femmes ou des hommes dans divers pays, la protection de la faune, les coutumes culturelles, sont autant de thèmes mis en valeur dans les photos exposées. 
On remarquera une section consacrée au phénomène des jumeaux dont les auteurs sont les deux photographes Bénédicte Kurzen (France) et Sanne De Wilde (Belgique). Cette section a été choisie pour illustrer l'exposition extérieure installée en bordure du canal au coin de la rue Queen dans le Vieux Port. 
Au niveau local, on remarquera notamment une section produite par le journal l'Itinéraire exposée à l'étage du Marché Bonsecours. 
La directrice déléguée à Montréal et représentant l'exposition World Press Photo 2019, dont le siège social est situé à Amsterdam, est Samira Damato. 
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lundi 26 août 2019

L'HEURE DU CAFÉ ET LA CAMPAGNE ÉLECTORALE




L'HEURE DU CAFÉ ET LA COURSE ÉLECTORALE -
Par Bernard Bujold -
La magnifique tasse que m'a offerte Gaspard Fauteux, le fidèle ami Facebook, aux couleurs de notre idole Donald Trump a maintenant une compagne. En effet, je me suis procuré une tasse aux couleurs de mon candidat préféré pour les prochaines élections canadiennes du 21 octobre 2019. 
Maxime n'est pas le favori pour remporter la course mais devrait faire une excellente figure et qui sait, Maxime Bernier fera peut-être mentir les experts comme l'a fait notre ami Donald... Quoi qu'il en soit, le café est bien meilleur dans une belle tasse inspirante! 
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samedi 24 août 2019

LE JOURNAL DU MATIN - 2019


JOURNAL DU MATIN - 2019 
Par Bernard Bujold -
J'ai toujours aimé lire les journaux papier et depuis le début des années 1980, je me suis attaché d'une façon émotionnelle à quelques journaux dont en particulier, The Wall Street Journal. 
Je lis The WSJ quotidiennement avec une passion et un plaisir toujours renouvelé. 
Je suis d'accord sur un point dans l'actuel débat sur la survie des quotidiens québécois, lorsque l'on aime un journal, on est prêt à payer pour le lire. Guy Crevier aimait lui aussi le WSJ et il en était abonné mais il se disait convaincu que les lecteurs de La Presse n'accepteraient pas de payer pour un abonnement comme on le faisait volontiers pour the WSJ. Je crois que son erreur à été là et que ce manque de confiance en son produit traditionnel (version papier) à provoquer la crise que l'on vit présentement dans les anciens quotidiens de Power Corporation..
Malheureusement, il est un peu tard pour corriger l'erreur car les difficultés sont devenues financièrement impossible à corriger, selon-moi... 
Il faudra voir la suite mais en ce qui me concerne je suis rassuré de pouvoir lire encore pour quelque temps mon journal favori même s'il m'en coûte quelques dollars mensuellement. Notez que j'aime aussi lire Le Devoir, un abonnement papier payé et livré chaque matin à la porte du domicile! J'étais aussi un fidèle lecteur de la Presse durant la belle époque de son édition papier... 
Bonne lecture! 
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PK SUBBAN EST EN AMOUR ET FIANCÉ...


PK SUBBAN EST EN AMOUR ET FIANCÉ... AVEC LINDSEY VONN! 
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mercredi 21 août 2019

BILAN DU DOSSIER DES JOURNAUX QUOTIDIENS QUÉBÉCOIS




BILAN DU DOSSIER DES JOURNAUX QUOTIDIENS QUÉBÉCOIS 
Par Bernard Bujold -
Le bilan sur l'avenir des 6 anciens journaux de Power Corporation est de plus en plus évident! La faillite définitive pourra difficilement être évitée... 
Pierre-Karl Péladeau n'est même plus certain s'il fera une offre au syndic car la procédure est plus imprévisible qu'une offre d'entreprise comme celle qu'il avait faite la semaine dernière (12 août 2019) et qui a été refusée par le Gouvernement de François Legault. Par ailleurs, un sondage informel auprès des autres groupes de presse au Québec montre très peu d'intérêt sérieux pour un rachat des 6 quotidiens... 
Le processus de vente aux enchères par le syndic débutera après la fête du travail du 2 septembre prochain et la conclusion devrait être assez rapide. Ce sera une reprise par un autre groupe ou une vente de liquidation des actifs à l'encan public. 
Par ailleurs, La Presse Plus pourrait bien être la prochaine en sérieuses difficultés car, selon le ministre responsable du dossier à Québec (Pierre Fitzgibbon), la campagne de levée de fonds auprès du public n'obtiendrait pas les résultats nécessaire pour la survie du média. Le déficit d'opération serait de 30 à 50 millions$ pour une année... 
En bout de ligne, le seul grand gagnant est le groupe Power Corporation qui n'étant plus le propriétaire légal peut éviter toute cette saga et économiser ses sous... 
En affaire, il faut savoir prendre les bonnes décisions! Pierre Péladeau père répétait toujours: 
"...Don't throw good money after bad money..." (Ne garrochez pas du bon argent après le mauvais argent) 
VOIR REPORTAGES 
1. VENTE AUX ENCHÈRES 
2. LA PRESSE PLUS EN DIFFICULTÉS 
3. LE GROUPE POWER CORPORATION GRAND GAGNANT 

mardi 20 août 2019

UN JOURNAL EST UNE ENTREPRISE COMMERCIALE


UN JOURNAL EST UNE ENTREPRISE COMMERCIALE 
Par Bernard Bujold-
Un énoncé politique vient d’être publié aux États Unis par 181 corporations géantes du pays, énoncé qui est se veut comme un engagement social. 
Le texte de l’énoncé rappelle qu’une entreprise commerciale appartient à la toute société et l’entreprise doit viser à répondre aux besoins de tous les propriétaires allant de l’actionnaires investisseurs, les fournisseurs, les clients, la communauté environnante et bien sûr les employés. Et ce sont tous ses propriétaires qui décident du succès ou l’échec de chacune des entreprises d’une société et qui permet d’offrir un produit qui répond aux besoins de tous les propriétaires.
Dans un sens, cet énoncé s’applique parfaitement à la situation de crise des journaux quotidiens québécois. Les journaux doivent répondre aux besoins de tous leurs propriétaires, actionnaires comme communauté. 
VOIR TEXTE CORPORATIONS AMÉRICAINES(anglais)

L’AVENIR DES JOURNAUX QUOTIDIENS QUÉBÉCOIS


L’AVENIR DES JOURNAUX QUOTIDIENS QUÉBÉCOIS 
Par Bernard Bujold -
S’il y a une conclusion à la crise des journaux quotidiens québécois c’est que le pari de Guy Crevier et la gratuité au niveau régional a été perdu. 
La crise des médias n’est pas la faute des Google et Facebook qui offrent un produit gratuit mais universel alors qu’un média régionaux, c’est autre chose de local. 
Celui qui semble bien comprendre la situation et qui offre la meilleure réflexion face à la crise des anciens journaux de Power Corporation est l’éditeur du Devoir Brian Myles. 
Je n’ai jamais été un fan de ses opinions éditoriales mais il a raison au sujet des médias régionaux et urbains, la gratuité n’est pas viable et il le prouve avec le plan d’affaire du Devoir. Un journal modeste avec des ambitions modestes mais viables. 
On peut conclure que Guy Crevier aura été trop ambitieux ou malchanceux dans son pari. La conclusion est cependant toujours la même lorsque l’on perd un pari: l’on perd aussi sa mise et la fortune misée. 
La solution est maintenant, comme l’écrit l’éditeur du Devoir, entre les mains de la population régionale qui acceptera ou non de payer pour une information régionale. La solution est aussi entre les mains de nouveaux gestionnaires qui seront plus modestes dans leurs ambitions. 
À suivre! 
VOIR EDITORIAL LE DEVOIR 
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