La femme ou l’homme idéal n’existe que dans le rêve. Mais il est permis de rêver et tant que l’on ne prend trop la chose au sérieux, on peut profiter de la situation sans danger et parfois, la situation deviendra réalité avec un peu de magie du ciel…
En ce qui me concerne, j’ai connu quelques femmes de rêve durant ma vie.
Je dois cependant souligner que cela ne s’est jamais produit au cours d’un« blind date »…
Je suis plutôt malchanceux si je choisis de rencontrer sans voir car pour moi c’est l’énergie qui détermine s’il y a déclic ou non.
Je me souviens d’une rencontre « blind date » qui résume bien toutes mes rencontres à l’aveugle. J’avais parlé au téléphone avec une journaliste d’un réseau américain. Elle voulait une entrevue avec Pierre Péladeau. Elle s’appellait Sandy, disait être blonde, originaire de la Californie, célibataire et voulait découvrir la ville de Montréal. Sa voix au téléphone était suave et très romantique! J’avais facilement obtenu un lunch avec elle mais ouf… Tout ce qu’elle m’avait dit à son sujet était vrai sauf qu’elle ressemblait physiquement au boxeur russe, Ivan Drago, dans Rocky IV. Je ne me suis pas attardé ce midi-là !
Mais j’ai aussi rencontré quelques vraies femmes de rêve et l’une d’elle est Julie Depardieu, qui selon-moi, est l’une des plus belles femmes au monde. Elle ne s’affiche pas ainsi mais elle pourrait si elle le voulait. On lui dit d’ailleurs souvent qu’elle est belle mais elle ne prend pas vraiment le compliment au sérieux. Elle se considère simplement comme quelqu’un de gentille capable d’écouter les autres. Mais c’est justement une forme de grande beauté ! Quoi qu’il en soit, elle est, selon mes critères, la femme idéale ! J’ai eu le bonheur de passer quelques moments en sa compagnie alors qu’elle était membre du jury au Festival des films du monde de Montréal en 2003. Je l’avais interviewée et nous nous étions revus à quelques reprises durant les jours suivants lors des cocktails de divers cinéastes. Nous avions parlé de tout, même de son père sur le plan personnel. Je dois dire que j’étais fasciné par Julie et par sa grande franchise.
Je regarde toujours les yeux d’une personne car pour moi c’est là que je peux saisir son âme. Les yeux de Julie sont magnifiques. Bref, j’étais sous le charme pour ne pas dire frappé par le coup de foudre! Mais bon, Julie était une actrice de cinéma, la fille d’une icône française, et elle habitait loin de Montréal. Il y avait aussi le fait qu’elle venait de rencontrer son nouvel amoureux, le violoniste de grand talent, Laurent Korcia.
Beaucoup d’obstacles pour lui faire la cour et développer une relation amoureuse, malgré ma passion du moment !
Julie est donc repartie en France, avec son amoureux, vers ses poules et sa petite ferme et moi je n’ai conservé que quelques photos que j’avais prises d’elle ainsi que le souvenir de quelques moments de bonheur et de rêve. Lorsque j’ai photographié son père, Gérard Depardieu, en 2005, à l’occasion de ses lectures de St-Augustin à La Basilique Notre-Dame du Vieux-Montréal, je n’ai pas pu m’empêcher de penser, intérieurement, qu’il aurait pu être mon
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