Les prochaines élections générales au Québec seront celles de la lutte
étudiante contre la hausse des droits de scolarité. Mais la vraie question
qui se pose est la suivante: "Qu'est-ce qui arriverait si les étudiants
fondaient leur propre parti politique et que les leaders du mouvement
étudiant en était aussi les meneurs?
On a vu avec l'élection fédéral de
2011 et la victoire au Québec de Jack Layton que "l'impossible est
parfois possible" !
Actuellement, il y a dans la population un clivage entre les partisans
étudiants et les partisans du parti Libéral. Le problème est que les vrais
adversaires politiques de Jean Charest, les étudiants, ne sont pas
officiellement en lice et qu'aucun les parti politiques qui affronteront
Jean Charest lors des élections ne sont vraiment les représentants et
les défenseurs de l'option étudiante. On risque donc d'avoir une sorte
de retour à la case départ lors de la prochaine élection avec les votes
partagés entre les partis politiques conventionnels et probablement un
retour au pouvoir du gouvernement libéral actuel.
On dira que les étudiants sont trop jeunes de 15 ans pour être des
dirigeants de l'État mais "What if they were running for office".
Il suffit de souligner que l'un des plus grands succès de société est
justement l'oeuvre de jeunes dans la vingtaine: Facebook avec
Mark Zuckerberg comme leader pour comprendre que la jeunesse n'est
pas un obstacle aux réalisations exceptionnelles. Sur le plan politique,
Jack Layton a démontré que le rêve impossible peut devenir une réalité.
Qu'est ce qui arriverait si... (what if)...
À suivre!
Photo 1: De gauche à droite Gabriel Nadeau-Dubois, Jean Charest,
Martine Desjardins et Léo Bureau-Blouin;
Photo 2: Les leaders étudiants ;
Voir album photos ;
Voir analyse de la popularité étudiante ;
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