Par Bernard Bujold -
Beaucoup de gens me demandent si je suis toujours un fan de Donald Trump après les événements du 6 janvier ?
Mon parti pris pour Donald Trump n'est pas de la compassion de ma part mais l'observation depuis 2016.
Personnellement, je suis tout sauf un penseur intellectuel et je ne crois pas à l'exclusivité de l'élite intellectuelle. Je suis plutôt une personne du peuple. Ici, au Québec, par exemple, je suis à l'opposé de l'opinion d'une Lise Bissonnette qui disait il y a quelques années que tous les leaders politiques devraient provenir de l'élite (université, institutions officielles, etc.).
Pour moi, Donald Trump représente le peuple tout comme un Pierre Péladeau ou un Serge Losique le représentait.
Maintenant, ce qui se passe actuellement aux États-Unis est plus proche de la fameuse guerre de famille "Hatfield-McCoy".
À titre d'exemple, les médias de gauche font la liste de tous ceux qui ont travaillé de près ou de loin avec le gouvernement Trump et les médias suggèrent l'interdiction d'embaucher dans les entreprises américaines (éditorial du magazine Forbes).
Avec un pays de 330 millions d'habitants divisé en deux groupes à peu près égaux qui se méprisent et se détestent, cela nous ramène directement à une situation de "Hatfield-McCoy" ?
Et pour empirer la situation, le prochain président Joe Biden est tout autant "polarisant" que Donald Trump pouvait l'être.
Et en plus, nous devons tous faire face au coronavirus...
Notre époque n'est pas la plus belle à vivre.
Heureusement, il y a de la "broche" pour s'accrocher et survivre...
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