Par Bernard Bujold -
Dans une autre vie, j'ai bien connu Gilbert Rozon, comme quiconque d'ailleurs a travaillé à Montréal dans une grande entreprise, car Rozon était le vendeur de commandites par excellence avec ses activités et ses galas en humour.
J'ai aussi connu quelques-unes des femmes qui le poursuivent
au civil pour agression sexuelle.
Ma perception personnelle de toute cette saga c'est que la vie en société est au final une action d'offre, de vente et d'achat.
Gilbert est dans son âme comme un vendeur de voitures usagées et celles qui l'accusent d'agression, des personnes qui croyaient que de s'approcher de Rozon représentait l'aubaine soit sur le plan d'un emploi, d'un statut social, ou d'amoureux; alors que Rozon n'offrait rien d'autre qu'une sexualité passagère et sans lendemain.
L'aubaine de la voiture usagée est un mythe et généralement la belle voiture n'est pas ce que l'on croit et rien n'est jamais gratuit!
La société des années d'avant octobre 2017 (Harvey Weinstein) reposait beaucoup sur ce concept de la voiture à vendre.
Heureusement les temps ont changé et c'est aujourd'hui une autre époque, mais il ne faut jamais oublier la prudence et toujours se tenir loin, très loin, des vendeurs de voitures usagées...
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