La saga du ministre Maxime Bernier et de son ex-amoureuse Julie Couillard est digne d’un véritable polar ou d'une télésérie.
Personnellement, je croyais que le Premier ministre Stephen Harper aurait agi beaucoup plus rapidement dans ce dossier et qu’il aurait congédié le ministre dès le début du scandale. Mais il faut comprendre que Bernier était l’un des fidèles supporters de Harper au Québec durant la dernière campagne électorale. Le Premier ministre est un homme de principe et il est fidèle en amitié. Il considérait Bernier comme un ami mais il a été trompé. Il n’est pas la première personne de ce bas monde à commettre des erreurs de jugement envers ses amis!
Le grand fautif demeure le ministre Maxime Bernier. Pas nécessairement pour des actions criminelles mais pour son manque de rigueur et de sérieux face à la fonction importante qu’il occupait. Il a pris pour acquis un privilège et il ne méritait pas d’occuper le poste en question.
En ce qui concerne Julie Couillard, elle est une victime mais pas une victime qui serait du genre fragile. Elle a frayé dans le passé avec des criminels qui ont été ses conjoints et elle aurait survécu à des menaces de mort de la part des motards. Elle serait aussi propriétaire d’une petite entreprise en service de sécurité…
Je crois qu’elle dit vrai lorsqu’elle affirme avoir été sous écoute électronique. Personnellement, lorsque j’étais l’adjoint de Pierre Péladeau dans les années 1990, nous faisions régulièrement appel aux services d’agences de détectives et celles-ci nous suggéraient continuellement de faire vérifier nos bureaux pour des« bug »( microphones). L’espionnage industrielle est une pratique courante et encore plus aujourd’hui avec les nouvelles technologies disponibles sur le marché.
La conclusion : soyez prudent vous êtes peut-être sous écoute…
BernardBujold@gmail.com
Lien avec entrevue video Julie Couillard
Lien site Internet personnel de Maxime Bernier
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